Google, comme on pouvait s'y attendre, a finalement cédé et accepté de "respecter les lois et les règlements de la Chine" (autrement dit, de relayer la censure du gouvernement chinois).
Ah, si la Tunisie était aussi puissante que la Chine, cela permettrait à notre pauvre Ammar d'un peu se reposer!
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Parle pas de malheur!
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